L’on peut considérer, à juste titre, le mois novembre comme symbole fort des relations algéro-mauritaniennes. Un mois qui tire son importance d’abord du fait qu’il rappelle aux uns et aux autres les sacrifices consentis pour la liberté.
Ce que les Nouakchottois appellent la « crise des légumes » se fait sentir, depuis plusieurs jours, dans la capitale. On donne une explication : la rupture de la principale chaîne d’approvisionnement, celle en provenance du Maroc. Mais la raison profonde est ignorée par tous : nous mangeons ce que nous ne produisons pas.
Assurer un espace de vie durable par la cohésion sociale et des services sociaux de base fiables à MBerra et villages avoisinants, avec une gestion intelligente des ressources naturelles.
Les données sur la migration internationale du Travail n’ont pas été jusque-là une priorité pour la Mauritanie, d’où leur quasi inexistence dans les stocks d’informations statistiques fournies par les principales sources de données que sont l’Office National de la Statistique (ONS), l’Etat-civil et l’Agence nationale pour l’Emploi des Jeunes (ANAPEJ)
A Banjul (Gambie) où se tient la 65ème session ordinaire de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CADHP), la Mauritanie a envoyé une team de choc, non pas « se défendre », comme elle le faisait il y a quelques années, mais pour partager son expérience en matière de promotion des droits de l’homme.
Les travaux du tronçon Nouakchott-Rosso, entre le PK 25 et le PK 145, avancent lentement mais sûrement. La société française SOGEA SATOM chargée de la réalisation des 120 kilomètres jusqu’à Bombri sur financement de l’Union Européenne, a promis de livrer la route en juin 2020.
Un site apparemment - déjà - en campagne contre Mohamed Salem Ould Merzoug (allez savoir pourquoi), écrit : « la relation entre le ministère de l’Intérieur et les conseils régionaux est au pire de ses moments, à cause de la tension allant crescendo entre le Ministre et les présidents des conseils régionaux.»
Dans le cadre du programme PROMOPECHE, sur financement de l’Union européenne, le Bureau International du Travail (BIT), vient d’entamer une série de formations sur le Guide du formateur des Services d’Appui aux Entreprises (SAE), ou Business Development Services (BDS) en anglais, qui s’étale de septembre 2019 à février 2020.