Il y a un dicton, bien de chez nous, qui dit : الي ماهو فديكة ارجيل" (littéralement : celui qui n'est pas dans le combat - ou sur le terrain de la guerre - est brave).
J'entends des candidats, qui n'ont pas attendu le lancement officiel de la campagne, promettre monts et merveilles aux Mauritaniens, s'ils sont élus ! Ils fondent leurs critiques, mais aussi leurs espoirs, sur des données complètement détachées de la réalité que les Mauritaniens vivent depuis cinq ans dans tous les domaines de la vie.
Je mentirai en disant que "tout est bien dans le meilleur des mondes possibles", mais c’est vraiment un "mensonge rouge" que de vouloir nier le changement qualitatif, à tous points de vue, l'amélioration notoire, que le pays a connus en sortant, au lendemain de l'élection de juin 2019, de la "normalité" d'une crise qui a duré toute une décennie, pour entrer dans une ambiance de paix des braves qui avait fait dire au plus radical des opposants, Biram Dah Abeid, qu'il avait "trouvé son ami" !
Les actes posés par le président Ghazouani ont pour nom : Taazour (une solidarité agissante) qui a recréé l'Etat-providence d'antan en soulageant les souffrance de centaines de milliers de citoyens vivants dans la précarité, l'assurance maladie pour cette même catégorie de personnes, l'école républicaine qui permet de replatrer une unité nationale et une cohésion sociale mortellement touchées dans leurs fondements. Je cite trois exemples d'actes salutaires; il y en a des dizaines qui font qu'aujourd'hui, les Mauritaniens, dans leur écrasante majorité, ne sont pas prêt à lâcher la proie pour de l'ombre, croire aux paroles des "aspirants" présidents alors que les actes du Président plaident, largement, pour qu'il poursuive, parachève, les grands chantiers de développement économique et social qui placent le pays dans l'orbite de l'émergence.
Sneiba Mohamed
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