De toutes les éditions auxquelles j’ai assistées (Chinguitti est la quatrième), je puis témoigner que la couverture médiatique assurée par l’Agence Mauritanienne d’Information (AMI) du Festival des Cités du Patrimoine est la plus réussie. Certes, il y a eu, comme à Oualata, Tichit et Ouadane, l’envoi d’une forte équipe pour la couverture des différentes manifestations du festival, qu’il s’agisse de l’inauguration ou de la pose de la première pierre par le Président de la République Mohamed Ould Cheikh El-Ghazouani de projets de développement qui vont transformer, en mieux, les conditions de vie des populations, ou encore des manifestations culturelles qui constituent une composante essentielle du festival, mais c’est l’organisation, avec une parfaite répartition des rôles, qui a marqué la différence.
A la veille de l’ouverture du Festival, le Directeur général de l’AMI, M. Moctar Malal Dia, a passé la revue des troupes au lieu d’hébergement de l’équipe de l’Agence, transformé en salles de rédaction, pour s’informer des derniers réglages et du partage des rôles devant assurer la meilleure couverture médiatique possible du grand événement annuel.
L’AMI, consciente de sa mission de média public (source officielle) qui abreuve d’autres journaux, radios, télévisions et sites en informations fiables, ne tolère aucun raté. Elle est venue avec une édition spéciale, sorte d’avant-goût, pour les dizaines de reportages couvrant toutes les activités du Festival, et du Magazine qui sortira à la fin du mois pour rester l’une des précieuses mémoires de cette 13ème édition. En attendant la prochaine. Inchallah.
Sneiba Mohamed