Depuis quelques temps des attaques sournoises sont proférées à l'endroit de notre frère l'actuel ministre Aziz Ould Dahi. Pourtant, de l'avis de la majorité des Mauritaniens, c'est l'un des ministres les plus performants de ces dernières années et qui a le commerce le plus agréable pour son éducation et son entregent. Le parfait profil du commis de l'État. Celui qui sert son pays sans état d'âme, là où le devoir l'appelle. Sa longue expérience dans l'administration, notamment dans l'administration des NTICs et les "choses" de l'économie justifie bien sa présence au sein d'un gouvernement où le Premier ministre et beaucoup d'autres de ses collègues sont des technocrates comme lui appelés par le président Ghazouani pour assurer une bonne exécution de son programme "Taahoudati" (Mes engagements". L'argument fallacieux qu'il est le parent à l'autre Aziz, l'ancien président qui a présidé aux destinées du pays entre août 2008 et août 2019 ne tient pas la route. Car beaucoup de ceux qui sont aux commandes aujourd'hui avaient fait carrière à la même période et, comme lui, ne sont redevables que de leurs actes passés, présents et à venir. Si le pays est engagé pleinement aujourd'hui dans la conquête des TICs c'est grâce à Ould Dahi qui avait accompagné les premiers moments de l'arrivée des technologies nouvelles et avait eu, comme récompense, d'être nommé secrétaire d'État (ministre). Son passage à la banque centrale de Mauritanie (BCM) est également marqué par des succès notables, malgré l'affaire qui y a éclaté et qui ne porte que sur moins de deux millions d'euros avec des responsabilités assumées par les contrevenants dès les premiers moments. C'est avec le même sérieux, et toujours sans se départir du calme qui le caractérise, travaillant bien sans tambour ni trompette, qu'Aziz avait entamé une mission de redressement au niveau du ministère des pêches et de l'économie maritime. Un travail qui avait eu des échos favorables auprès des partenaires techniques et financiers de la Mauritanie et qu'il a continué là où il se trouve aujourd'hui avec son retour à un autre domaine qu'il maîtrise parfaitement. Ceux qui s'acharnent contre Aziz Ould Dahi sont, en vérité, les vrais ennemis de la Mauritanie. Ils cherchent non seulement à sacrifier un innocent pour un délit de faciès (parenté avec Mohamed Ould Abdel Aziz) mais à porter préjudice à Ghazouani en l'engageant, malgré lui, dans une "chasse à la tribu" alors qu'il a bâti le succès du début de son mandat sur l'apaisement, le consensus, la justice et l'équité. En homme avisé, le Président Ghazouani ne tombera pas dans ce piège tendu par ses ennemis et adversaires politiques les plus fourbes. Sid'Mhamed Ould M'haymed