Les « orphelins » de l’Ancien Régime. Difficile de savoir aujourd’hui combien ils sont. Les adeptes du troisième mandat qui, sachant vaine cette tentative de démocracide, ont œuvré alors pour une sorte de « régence ». Ils se démènent sur les réseaux sociaux pour livrer un dernier baroud d’honneur. De déshonneur, devrai-je dire plutôt.