Nouakchott a abrité mardi 29 septembre 2020 la réunion tripartite Nations Unies, Union européenne et G 5 Sahel dans le cadre de l’arrangement technique pour la fourniture d’un appui opérationnel et logistique à la force conjointe du G 5 Sahel.
Mardi, 29 septembre 2020, n’est pas un jour comme les autres pour les habitants de Nouadhibou, la capitale économique du pays, qui ont été heureux de constater le redémarrage, avec de nouvelles ambitions de la station locale de Radio Mauritanie.
Le gouvernement II de l’ère Ghazouani , installé le 06/8/2020, avec aux commandes l’ingénieur Mohamed Ould Bilal, est en train de prendre ses marques comme un gouvernement de réformes, celui formé suite à la présidentielle de juin 2019, étant plutôt de « prospection », à la sortie d’une décennie 2009-2019 à problèmes.
C’est un fait rare qui mérite d’être souligné. Qu’une représentation diplomatique mauritanienne, en l’occurrence, le Consulat général de Mauritanie aux Iles Canaries rende hommage à l’un de ses agents administratifs décédé récemment est un fait notoire qui mérite d’être souligné pour qu’il soit porté en exemple.
Dans le cadre de sa politique de développement des stations régionales, Radio Mauritanie compte reprendre intégralement ses émissions à partir de la station de Nouadhibou après un arrêt de quelques années.
Le sage de la lutte pour l’indépendance de la nation indienne, Mahatma Ghandi, le combattant calme et héros de la non-violence, disait, à la sortie de chaque jeûne et méditation : « ils nous jettent des pierres que nous ramassons et utilisons pour leur construire une maison que nous appelons l’amour du prochain. »
Des dizaines d’organisations de la société civile ont lancé, ce jeudi 3 septembre 2020 un appel pour une « Alliance pour la restitution des biens mal acquis » lors d’une conférence de presse organisée à l’hôtel Mauricenter.
Le président a voulu, dès l’annonce de sa candidature en août 2019, en présence de son aimable maman, de poser les fondements d’une Mauritanie débarrassée de cet infamant statut d’état failli, notamment sur le plan moral, en disant à tous ses concitoyens : « la Mauritanie m’est plus chère que la présidence ».
Pour dénoncer la gabegie comme risque majeur pour la paix civile, le plateau de Radio Mauritanie avait accueilli, dans la nuit de samedi des personnalités de renom (le député et cheikh El Khalil Enahwi, le fakih Sidi Yahya Abdel Wahab, l’universitaire Moustapha Faty, la députée Zeinebou Mint Taki et l’ancien ambassadeur Moctar Ould Dahi.